Les auteurs autoédités doivent-ils brûler les librairies ?
OK, accrochez-vous, on va secouer le cocotier de l'édition !
- Les libraires se moquent de l'autoédition Vous pensiez que les libraires allaient vous accueillir à bras ouverts avec votre livre autoédité ? Réveillez-vous ! Les libraires sont comme des videurs de boîte : ils ne vous connaissent pas, vous n'êtes pas sur la liste, alors circulez ! Ils ont déjà du mal à placer les 67 000 nouveautés annuelles des éditeurs traditionnels. Votre chef-d'œuvre ? Ils s'en fichent. Conseil : Arrêtez de supplier.
- Les éditeurs noient les librairies Imaginez un libraire sous une avalanche de livres. C'est Verdun en version papier. Les éditeurs le bombardent de nouveautés. Votre livre, c'est une goutte dans l'océan. Pire, dans le désert ! Conseil : Soyez réaliste, vous ne passerez pas inaperçu si facilement.
- Les libraires sont des commerçants Révélation : les libraires ne sont pas là pour réaliser vos rêves. Ce sont des commerçants, pas des mécènes. Ils veulent des livres qui se vendent, pas votre roman expérimental. Tactique : Montrez-leur vos chiffres. Combien d'exemplaires avez-vous déjà vendus ? Combien de followers avez-vous ? Parlez-leur la langue du business.
- 34% de commission, vraiment ? Non, les libraires ne sont pas riches. Avec leurs 34% du prix de vente, ils sont plus proches de la soupe populaire que du caviar. La plupart survivent à peine. Plan d'attaque : Offrez-leur un deal irrésistible, une promo qui attire les foules. Soyez créatif !
Brûler les librairies ? Non !
Au lieu de jouer les incendiaires, devenez des génies du marketing. Créez une demande si forte que les libraires se battront pour vos livres. Écrivez des livres qui déchirent et faites en sorte qu'ils vous supplient de leur vendre vos bouquins. C’est ça, la vraie victoire.
Si tu as une expérience bien nulle avec un libraire, c’est le moment d’en parler en commentaire !
